Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

L'Haÿ un canton solidaire

L'Haÿ un canton solidaire
Archives
4 mars 2009

Editorial

Madame, Monsieur,

Au-delà des formes plus traditionnelles de communication, il est important pour les élus et les responsables politiques d’établir un lien direct, régulier avec la population.

Internet est un outil qui, de ce point de vue permet d’avoir ce contact.

C’est la raison pour laquelle j’ai décidé après 12 mois de mandat d’ouvrir un blog pour vous tenir informés de la vie du Conseil Général du Val de Marne, des responsabilités que j’y assume, des projets en cours pour le département ou pour le canton de L’Haÿ-les-Roses.

Cet outil interactif vous permettra également d’exprimer vos préoccupations, de faire connaitre vos attentes sur la politique que conduit le département et de dire les difficultés que vous rencontrez.

Des rubriques thématiques vont être progressivement constituées couvrant tous les champs de l’activité départementale.

L’action sociale en premier lieu qui m’a été confiée par Christian FAVIER, les transports, le logement et l’habitat, la culture, le sport …

Bref tous les secteurs dont le département a la charge.

Des dossiers d’actualité figureront sur ce blog et au sujet desquels vous pourrez donner votre point de vue.

Je forme le vœu que ce blog vous permettra de mieux connaitre le Conseil Général et je suis sûr que les remarques que vous ne manquerez pas de faire parvenir me permettront de mieux répondre à votre attente.

Bien cordialement

Publicité
1 septembre 2008

3 Questions à Pierre Coibault

Question 1 : Les départements sont aujourd’hui les chefs de file de l’action sociale. Ils définissent ainsi leur propre politique d’action sociale et coordonnent les actions qui y concourent menées sur leur territoire. Que recouvre concrètement l’action sociale de notre département ?

 

Réponse P. Coilbault : Les compétences du département en matière d’action sociale sont importantes. Elles recouvrent les actions de solidarité visant un retour à l’autonomie des individus et pour cela, le département dispose de 20 espaces départementaux de solidarité (EDS) répartis sur l’ensemble du territoire. Les professionnels de ces espaces ont en charge la gestion du RMI et bientôt ceux du Revenu de Solidarité Active (RSA), avec un lourd travail d’accompagnement vers l’insertion pour les bénéficiaires de ces prestations. Le département a également en charge l’aide sociale générale qui comprend l’aide médicale, l’aide en direction des personnes âgées (maintien à domicile, placement en établissement), l’aide aux adultes handicapés. Sans oublier les services de l’aide sociale à l’enfance qui agissent en prévention contre la délinquance et la protection des mineurs, les services de la PMI en lien direct auprès des parents avec leurs jeunes enfants et les services de santé qui mettent en œuvre des actions de prévention en direction de la population.

 

 

Question 2 : L’aggravation des situations de précarité doit-elle amener le département à donner un nouveau souffle à son action sociale ?

 

Réponse P.Coilbault : La solidarité constitue une action prioritaire indéniable pour le Conseil général, en témoigne le budget consacré à la solidarité qui représente deux tiers de son budget global. Cependant, la précarité est loin d’avoir régressé et nous devons restés attentifs à la multiplication des situations de paupérisation et de l’accroissement des inégalités. L’augmentation du nombre de chômeurs de longue durée et l’extension de la pauvreté et de la précarité caractérisent le contexte social partout en France, et notre département n’est pas épargné. Aussi, l’action sociale du département ne peut plus se limiter au suivi d’un public déterminé. Elle se doit de proposer une politique de prévention qui participe à la consolidation du lien social pour mieux contenir l’augmentation de la pauvreté et de la précarité ainsi que l’accroissement des situations d’isolement et de mal-être. Il est clair que l’action sociale départementale est étroitement dépendante de l’évolution de son environnement social et financier. De plus, au contexte social actuel s’ajoutent les besoins des autres catégories de population en situation de vulnérabilité. Je pense aux personnes en situation de handicap, aux personnes âgées. Le département est donc de plus en plus fortement et diversement sollicité.

 

 

Question 3 : A l’initiative du département, les prochaines fêtes des solidarités vont se dérouler le 13 décembre prochain. Elles mobilisent l’ensemble des associations caritatives qui oeuvrent en direction des populations fragilisées ainsi que les agents départementaux. Quel sens doit-on attribuer à ces journées ?

 

Réponse de P. Coilbault : Ces journées rappellent l’attachement du département à agir en direction de ces populations fragilisées. Face au défi lancé par la crise, le département entend favoriser les initiatives prises par les associations locales qui jouent un rôle dans la lutte contre la pauvreté des familles. Il s’agit bien ici d’une solidarité citoyenne qui se traduit par l’engagement de tous les acteurs pour combattre cette pauvreté et ce, d’autant que la période des fêtes de fin d’année ne prennent pas la même tournure enjouée pour tous.

Le département souhaite également à cette occasion qu’une réflexion collective intervienne sur le sens à donner à la solidarité aujourd’hui.

Cette réflexion implique les travailleurs sociaux, le public, les élus locaux. C'est le sens des expositions qui sont présentées dans les espaces de solidarité et qui vont permettre, je l'espère à chacun, de s'exprimer.

17 mars 2008

MERCI

Aux 5031 L’haÿssiennes et L’Haÿssiens qui nous ont accordé leurs suffrages et leur confiance.

Majoritaire dans tous les bureaux avec 62,62 % des suffrages exprimés, le résultat obtenu est sans appel.

Il est tout à fait remarquable par son ampleur et témoigne de la qualité des reports de voix qui sont intervenus entre le 1e et le 2ème tour.

Il illustre aussi la confiance renouvelée des électrices et des électeurs aux représentants du Parti Socialiste soutenus pas les forces de progrès.

Merci donc à toutes celles et ceux qui nous ont accordé dès le 9 mars leur confiance et qui l’ont renouvelée aujourd’hui.

Merci en particulier, à Stéphane COLONEAUX et au parti communiste pour leur soutien dès le soir du 1er tour.

Merci à Dominique MERLE et aux verts, à la gauche citoyenne, qui se sont rassemblés autour de notre candidature soulignant la force et la cohérence politique de la majorité municipale.

Merci aussi aux représentants des différentes composantes de la majorité municipale représentatives de la diversité de la ville qui permettent de faire en sorte que cette victoire soit la plus large possible et dépasse les clivages partisans habituels.

Des engagements ont été pris durant cette campagne.

Ils seront tenus.

Les dossiers sont nombreux et les besoins à satisfaire sont considérables.

Dans le domaine de la solidarité, dans le domaine éducatif, dans le domaine du développement durable, dans le domaine du développement économique, de l’emploi , de la voirie, des transports.

Nous ferons en sorte de répondre à ces attentes et d’être dignes de la confiance que vous nous avez accordé le 16 mars 2008.

s 2008

Pierre COILBAULT

, conseiller général

Jacqueline GEYL, suppléante

17 mars 2008

Résultats du deuxième tour

RESULTATS DU 2ème TOUR :

 

                       
 

 
 

Nombre

 
 

% Inscrits

 
 

Inscrits

 
 

18 896

 
 

 
 

Abstentions

 
 

10 675

 
 

56,49

 
 

Votants

 
 

8 221

 
 

43,51

 

 

                 
 

 
 

Nombre

 
 

% Votants

 
 

Blancs ou nuls

 
 

187

 
 

2,27

 
 

Exprimés

 
 

8 034

 
 

97,73

 

 

                 
 

 
 

Voix

 
 

% Exprimés

 
 

M. Yves BARROIS (UMP)

 
 

3 003

 
 

37,38

 
 

M. Pierre COILBAULT (SOC)

 
 

5 031

 
 

62,62

 
10 mars 2008

Résultats du premier tour

Pierre Coilbault en tête avec 40,13% des voix

 

Nombre d’électeurs inscrits : 18 896

Nombre de votants : 10 554

Participation communale : 55,85 %

Nombre de suffrages exprimés : 10 328

Nombre de bulletins nuls : 226

 

                                         
 

Ont obtenu :

 
 

Voix

 
 

Pourcentage

 
 

Dominique Merle

 
 

961

 
 

9,30 %

 
 

Yves Barrois

 
 

3 719

 
 

36,01 %

 
 

Jeannine Viaud-le Néonard

 
 

544

 
 

5,27 %

 
 

Stéphane Coloneaux

 
 

959

 
 

9,29 %

 
 

Pierre Coilbault

 
 

4 145

 
 

40,13 %

 
 

TOTAL

 
 

10 328

 
 

100,00%

 

 

Merci à tous les électeurs, et rendez-vous au second tour qui aura lieu le 16 mars 2008.

Publicité
15 février 2008

Discours de la campagne 2008

Mes chers camarades, mes chers amis,

Je voudrais commencer par saluer les représentants du parti communiste, les représentants des verts et ceux de la société civile qui nous font l’honneur et l’amitié de participer à la soirée conviviale de notre section du parti socialiste de l’Haÿ les Roses.

Il me parait très important et de bonne augure que nous puissions nous retrouver tous ensemble réunis au cours d’une soirée conviviale avant d’aborder les élections municipales et cantonales qui vont avoir lieu dans 5 semaines et dont l’importance n’échappe à personne.

Patrick Sève vous parlera dans quelques instants des élections municipales et de l’état d’esprit qui est le sien pour aborder ce scrutin. Il me revient en ma qualité de candidat aux cantonales de m’exprimer devant vous pour vous dire quelle est ma vision des choses pour cette élection.

Je voudrais remercier à nouveau, tous les camarades socialistes pour la confiance qu’ils nous ont massivement accordée à Jacqueline et à moi-même à l’occasion du vote, pour l’investiture de nos candidatures aux élections cantonales de 2008. Cette confiance, ce soutien, sont très importants, parce que pour mener un combat politique il faut d’abord commencer par rassembler sa famille politique ; c’est chose faite. Notre famille politique, notre section sont rassemblées derrière nous aujourd’hui et je m’en réjouis.

Cette confiance est très importante aussi, parce qu’elle permet de trouver l’énergie nécessaire et je découvre qu’il faut beaucoup d’énergie pour mener une campagne qui est un peu compliqué. Je vous en dirai quelques mots tout à l’heure.

Les enjeux de ces cantonales à L’Haÿ les Roses

Les enjeux de ces cantonales à L’Haÿ les Roses sont multiples. Ils sont locaux bien sûr, mais ils sont départementaux et nationaux également. Quelques mots d’abord sur le département du Val de Marne et quelques chiffres sur le conseil général, pour restituer les choses.

Le département du Val de Marne c’est :
- 1 279 000 habitants (au 1er janvier 2005) qui classent le Val de Marne  au 10e rang national sur le plan démographique.
- Une économie tournée vers le pôle Orly-Rungis, les entreprises de pointe, les entreprises de la santé et le cinéma. Ainsi le pôle d’Orly est le deuxième bassin d’emplois d’ Île-de-France avec 60 000 emplois et ceci n’est pas neutre pour notre commune.
- La santé est un secteur de pointe dans le département avec une concentration de très grands centres hospitaliers et de recherches. Le CHU Henri Mondor de Créteil ou l’Institut Gustave- Roussy de Villejuif, notamment.
- Plusieurs communes, sur les 27 communes de la silicon vallée de la vallée de la bièvre, sont situées dans le département du Val de Marne.
- Il existe par ailleurs une autre activité importante, qui s’appuie sur une longue tradition plus que centenaire : le cinéma avec les boucles de la Marne qui sont particulièrement concernées par cette activité, perpétuant ainsi la mémoire des studios de Joinville.

Dans le domaine éducatif

Le département du Val-de-Marne scolarisait, en 2005, 252 757 élèves avec 771 établissements publics (325 écoles maternelles, 294 écoles primaires, 102 collèges, 48 lycées et 2 écoles régionales d’enseignement adapté) et 94 établissements privés (47 écoles et 47 établissements du second dégré). Le département compte également un pôle universitaire : l’Université Paris XII Val-de-Marne, localisée à Créteil. La médecine est enseignée au sein du CHU Henri- Mondor. Depuis 1972, l’Institut d’Urbanisme de Paris se trouve à Créteil au sein de l’Université Paris XII. Bientôt l’IEP de Paris (Sciences Po) s’installera à Créteil grâce à l’action conjuguée de Laurent CATHALA et de Christian FAVIER. Et ceci est une excellente nouvelle ! Bref vous pouvez le constater le Val de Marne est un département qui compte sur le plan économique, sur le plan éducatif, sur le plan universitaire.

N’en déplaise à Jacques ATTALI, le département, est le principal bénéficiaire des transferts de compétences effectués depuis 1982. Il emploie plus de 7 500 personnes, dont la plupart sont directement sur le terrain, au plus près des besoins de la population avec des compétences qui sont considérables.

L’action sociale et sanitaire

est le cœur de métier des départements.

Les actions sociales sont diverses : • C’est l’aide aux handicapés avec la mise en place des maisons départementales du handicap • C’est l’aide aux personnes âgées, avec la création et la gestion de maisons de retraite, l’allocation personnalisée d’autonomie. Depuis la loi du 13 août 2004, le département définit et met en œuvre l’action sociale en leur faveur. • C’est aussi l’insertion sociale et professionnelle : le département pilote intégralement le dispositif du RMI depuis la loi du 18 décembre 2003 décentralisant le RMI. • Par ailleurs, la loi a crée dans chaque département un fonds d’aide aux jeunes (FAJ) placé sous l’autorité du président du conseil général. Ce nouveau FAJ sont chargés de favoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes en difficulté, âgés de 18 à 25 ans. • C’est aussi l’aide au logement : avec la création dans chaque département, d’un nouveau fonds de solidarité pour le logement, uniquement financé par les départements et non plus cofinancé avec l’État. • C’est la protection judiciaire de la jeunesse à titre expérimental pour cinq ans pour les départements qui le souhaitent. • C’ est aussi le domaine sanitaire, avec des actions en matière de vaccination, de lutte contre la tuberculose, la lèpre, le sida , les infections sexuellement transmissibles.

Le Conseil général, c’est également

l’aménagement de l’espace et l’équipement

Cela recouvre notamment : • Les dépenses d’entretien et les investissements concernant la voirie départementale et, depuis 2004, d’une partie des routes nationales. En matière d’éducation, de

culture et de patrimoine

les compétences du département comprennent notamment : • la construction, la reconstruction, l’extension, les grosses réparations, l’équipement et le fonctionnement des collèges. • Les départements sont aussi responsables du recrutement et de la gestion, notamment de la rémunération, des personnels non enseignant des collèges (personnels techniciens, ouvriers et de service, dits TOS) ; 1500 agents supplémentaires ont été ainsi transférés depuis 2005 au Conseil général. • En matière culturelle, le département a la responsabilité des bibliothèques centrales de prêt, de la gestion et de l’entretien des archives et des musées départementaux. • Depuis 2004, il adopte un schéma départemental de développement des enseignements artistiques dans les domaines de la musique, de la danse et de l’art dramatique, en concertation avec les communes.

Dans le domaine économique

et depuis la loi de 2002, le département peut participer au financement des aides directes aux entreprises, définies par le conseil régional, dans le cadre d’une convention passée avec la région. Il peut aussi attribuer des aides indirectes aux entreprises. La loi lui permet de mettre en œuvre ses propres régimes d’aides avec l’accord de la région.

Tout ceci vous l’aurez compris n’est pas neutre politiquement et selon que le département est dirigé par une majorité de gauche ou une majorité de droite les choses peuvent radicalement changer.

Quel est aujourd’hui

le rapport de forces

et  la composition des groupes politiques au Conseil général du Val de Marne ?

Le département du Val-de-Marne est composé de 49 cantons répartis sur 47 communes. Les 49 conseillers généraux composent l’assemblée départementale qui est renouvelée tous les trois ans et cette assemblée élit un président pour trois ans qui est secondée par 13 vice-présidents et 7 conseillers généraux délégués. Christian FAVIER est aujourd’hui le Président du Conseil général du Val de Marne. Sur les 49 conseillers généraux la répartition politique s’établit comme suit : • Le PCF compte 16 conseillers généraux • l’ UMP compte 21conseiller généraux • Le PS : 8 conseiller généraux • Il y a 4 conseillers généraux non-inscrits, dont deux classés à droite sur St Maur et Villiers sur Marne et deux classés à gauche.

La gauche totalise donc aujourd’hui 26 sièges ; la droite a  23 sièges.

Si nous ne gagnons pas ici à l’Hay les roses, Il y a un risque réel que le Conseil général bascule à droite. Nous devons donc tout faire pour gagner parce que la victoire dans ce canton est capitale pour le département, parce qu’elle nous est indispensable à l’Haÿ les Roses.

Chacun sait ici que le collège Chevreul a été réhabilité parce que nous faisons partie de la majorité départementale. Nous sommes aidés pour les mêmes raisons comme nous le sommes par le département, pour la ZAC L’hay parc pour achever la coulée verte. Chacun sait enfin que les aménagements de voirie ont été réalisés de manière très satisfaisante grâce à l’aide du département (je pense aux travaux de voirie devant la Mairie). Chacun sait que le département nous a aidés lorsque nous avons eu besoin de lui et parfois dans l’urgence (je pense au relogement des locataires de l’allée du stade après l’incendie de la tour du stade). Aide précieuse, aide irremplaçable.

Pour des raisons purement locales la victoire est donc une nécessité.

Mais plus globalement,  la victoire est une ardente obligation

au plan national

.

Pour combattre la politique de SARKOZY et de son gouvernement, il faut qu’il y ait des départements, des communes, avec des élus de gauche, socialistes si possible, qui n’acceptent pas le démantèlement de tous les services publics, des élus qui refusent la diminution du pouvoir d’achat, des élus qui s’opposent à la suppression complète de la carte scolaire, qui disent non à la franchise médicale, qui disent non à cette politique qui tourne le dos à nos valeurs de solidarité, de justice sociale, d’égalité et de liberté, de respect de l’autre, de fraternité.

Il faut qu’il y ait des élus pour faire renaître l’espoir dans nos banlieues, dans nos villes, dans nos départements, des élus qui défendent tous ceux qui n’attendent plus rien de ce gouvernement parce qu’ils savent qu’ils n’ont plus rien à en attendre.

Mes chers camarades, mes chers amis, les enjeux politiques de cette campagne des cantonales sont très importants vous l’avez compris et cela nécessite que nous soyons tous rassemblés.

Cette campagne je vous l’ai dit tout à l’heure, n’est pas simple à mener. Parce qu’elle se déroule avec les municipales qui sont beaucoup plus médiatisées et il est parfois difficile de faire comprendre l’importance des enjeux. Tout cela n’est pas simple.

Cela nécessite des explications, de l’information, et il nous appartient aux uns et aux autres de rester cohérents, d’expliquer notre démarche et de rappeler qu’au-delà de nos différences nous poursuivons des objectifs qui nous sont communs.

Parce que les 2 campagnes sont évidemment liées, imbriquées totalement. Imaginer que l’une puisse se faire sans l’autre n’est pas concevable. Imaginer une victoire à l’une des élections et une défaite à l’autre est aussi une erreur. Nous avons l’obligation de gagner les 2 élections les municipales et les cantonales.

Mais il faut dans le même temps que les électeurs comprennent qu’il y a deux élections avec tout ce que cela peut signifier en termes d’organisation, de financement, de communication.

Nous nous efforçons avec Jacqueline GEYL, d’organiser des actions spécifiques, distinctes des municipales. René GOUPIL a accepté d’être le Président de notre comité de soutien. Je le remercie pour l’aide qu’il m’apporte et pour les conseils qu’il me donne pour cette campagne et je remercie tous les camarades qui sont à nos côtés pour mener cette campagne. Je remercie René et tous ces camarades parce qu’ils vont nous aider à gagner ces élections.

Votre investissement, votre énergie, ne doivent pas faiblir. L’union qui est aujourd’hui la nôtre à l’Haÿ, doit être préservée, votre mobilisation doit être totale pour nous conduire à la victoire ; c’est à ce prix que nous assurerons la victoire aux élections municipales et cantonales à l’Haÿ les Roses.

Les électrices et les électeurs attendent de nous ces victoires. Il ne faut pas les décevoir. Vous pouvez compter sur la détermination de Jacqueline et de moi-même pour mener ensemble ce combat.

Je vous remercie.

10 février 2008

Membre du comité de soutien

SEVE Patrick, Maire et Conseiller Régional

Les élus sortants :

ASSELIN Bernard, BATTESTI Jean-Bernard, BICHAREL Nicole, CESARI Hélène, CHAÏA Christian, DELIANCOURT Bernard, DHENAUX Sophie, DUTEMPLE Alain, GITLER Bernard, HERNU Josette, LEBOURG Catherine, LECLERC Danielle, MICHEL Marie-Lys, PIAU Yannick, VIGNE Michel,

Les anciens élus :

GOUPIL René, président du comité de soutien MECHAIN Marc, ALAGUERATEGUY Dominique, BEYER Anne, CLEMENCEAU Jacqueline, DONJON Hervé, LAUCOURNET Michèle, MORVAN Michelle, PISTORELLI René, ZONANA Jeanne,

Autres membres du Comité de soutien :

AGUERRECHE Georgia, AKJOUJ Fatima, ALAGUERATEGUY Carmen, ALAGUERATEGUY Myriam, ALIOUANE Tahar, ALLIEL Viviane, ANDRIAMANJAY Georges, ANDRIOMANANA Max, ANDRIOMANANA Malasoa, ANTALIK Jean-Baptiste, ANTALIK Michel André, APRUZZESE Mario, ARMENAULT Anny, ARMENAULT Patrick, ATHLANI Aline, AUMAITRE LOPATA Françoise, BACOS Catherine, BADACHE René, BAHON Jacques, BATHILY Abdoulaye, BAZIN - BRIANT Christine, BAZIN Jean-Paul, BEGUITE Joachim, BERLY Françoise, BERTRAND Valérie, BLANCARD Patricia, BOISSAT Dominique, BOISSAT Laurence, BOUKARI Loaga, BOULANGER François, BOURGADE Guy, BOURNAT Céline, BRAS Corinne, CAEL Réginald, CALCINE Frédéric, CAPPE Sylvain, CARBUCCIA Danielle, CARVAJAL ALEGRIA Esteban, CAUVET Guyllaume, CAZENAVE Pierre, CERVONI Guy, CHANE-TUNE Françoise, CHEVALIER Catherine, CHEVRIER Antoine, CHIARUTTINI Aurélie, CHIARUTTINI Vincent, CHOTTIN Florence, CLEMENCEAU Michel, CLEMENT Liliane, COITOUX Milène, COLNAT François, COLNAT Geneviève, COUQUET Céline, PERIRA-COLLIN Camille, CORBIN Olivier, CORBIN Maria, COSSARD Philippe, COSTA Michèle, DANA Tooran, DARMAGNA Madeleine, DENIS Jean, DENIS Solange, DESCAVES Annie, DHONDT Sophie, DIGBEU Samuel, DOBIGNY Huguette, DOBIGNY Gérard, DOLMEN Alex, DOUARD Viviane, DRUAIS Claude, DUBOS Maurice, DUCROCQ Jean-Marie, DUCROUX Guy, DUCROUX Noëlle, DUMAS Monique, DUPOUY Henry, DURAND Lucien, DUVERLY Laurence, ELIE DIT COSAQUE Germaine, ELOMO Florence, FONTALIRANT Jacques, FOUCHER Jacques, FOURNIER Jean-Philippe, GASCARD Renée, GAUTHERON Jean, GAUTHERON Patrick, GEIGER Clément, GEIGER Françoise, GENDRON Alain, GENOT Lydie, GHALEB Samy, GIORDANO GIlles, GITLER Willy, GODREAU François, GONCALVES Catherine, GOUIN Patrick, GOUIN -STRAUSS-KHAN Valérie, GOUPIL Fabienne, GOUPIL Jacqueline, GOUPIL Jacques, GOUPIL Mélanie, GRANET Marcelle, GUISSANI Serge, GUYOMARD André, GUYOMARD Gilles, GUYOMARD Nunzia, HADJES Bona, HADJI Ismail, HAMLAOUI Isabelle, HEDUE Mélanie, HUPEL Patrick, HUBLIER Gérard, HUBLIER Lucette, JALLET Jean-Pierre, JAMET Jean-François, JANIN Roland, KANDORO Nicolas, KHELIL Hamadi, KERROS Laurence, KHALDI Eddy, LACASSAGNE Guy, LAI David, LAMBOURION Philippe, LECLERC Jeannine, LEGER Alain, LE GLAUNEC Jean-Claude, LESTABLE Christian, LEVEQUE Chantal, LEVEQUE Jean-Marc, LEVEQUE Maïté, LEVY Alain, LOPATA Jack, LOPEZ Denise, LOPEZ Eric, LOPEZ Mauricette, MALAVAL Jérôme, MAULEON Claude, MARSALEIX Mireille, MAVOUNGOU Elie, MAVOUNGOU Louis-Marie, MAZOYER Bernard, MAZOYER Monique, M’BAE Abdou Ahamada, MECHAIN Patricia, MECHAIN Patrick, MECHAIN Renée, MEHOU-LOKO Lionel, MELMI Sylvain, MENY Christine, MENY Marie-Claude, MESLEM Jacky, MILLET Lucien, MINEL Francis, MOMEUX Josette et Patrick, MONTAGRIN Gilbert , MORMICHE Nathalie, MORVAN Michèle, MOUROUGUESSIN, MURA-SALAUN Mireille, NELTEN Sylvie, NGABA Lionel, NOTTOLA Thierry, NOURISSON Laurence, ONDELLA Gilbert, PABION Gilles, PAIN Yannick, PALAISE Pascal, PARANT Michelle, PASQUALINI Sylvie, PASTORELLI Ginette, PAYEN Gérard, PEREIRA Isabelle, PERESSE André, PHOSINE Denise, PINEAU Jean-Claude, PINOT Marie-Jeanne, PISTORELLI René, PIVERT Christian, POTIER Maurice, PREVOST Patricia, REMY Julien, RICHES-FLORES Véronique, RIEUNEAU Marie-Paule, RIOS Antoine, ROCHE Mireille, ROGER Danielle, RYSER Christophe, SABLIC Mathilde, SADEFO Philippe, SAIDI Hedi, SALMON Jean-Paul, SCHERER Jean-Paul, SCHITULLI Jacqueline et Jacques, SEDIRA Hamama, SEDIRA Nadia, SEGLA Daniel, SENIZERGUES Christophe, SKANDRANI Sonia, SOUDY Edith, SOURDEIX Barbara, SPORTES Daniel, STEVANOVIC Dejan et Natacha, STRAUCH Hélène, TALEB Amal, TAMBADOU Amadou, TESSON Jean, TOMMASI Luigi et Christine, TOMMASI Michaël, TOURNEUR Monique, TOURNIER Pierre Jean, TOURON Philippe, URBAIN Didier, VIGNE Michel, VILLEMAT Jacqueline, ZBERRO Sophie, ZE Marie-Agnès, ZONANA Jeanne.

1 février 2008

Le Conseil général du Val de Marne

Le Conseil général a pris dès les premières lois de décentralisation, une dimension majeure dans le paysage territorial, économique et social de la France.

      L’assemblée départementale

Le département du Val-de-Marne est composé de 49 cantons répartis sur 47 communes. Le conseiller général est élu d’un canton au suffrage universel direct pour un mandat de six ans. Les 49 conseillers généraux composent l’assemblée départementale. Cette assemblée est renouvelée tous les trois ans. Elle élit un président pour trois ans.

Elle se réunit une fois par mois. Elle décide des orientations politiques du Département et vote le budget. Elle intervient dans de nombreux secteurs en prise directe avec la vie quotidienne de la population.

      Le Président du Conseil général

A la tête de l’assemblée départementale, il préside les débats qui s’y déroulent. Il prépare le budget. Il est secondé par 13 vice-présidents et 7 conseillers généraux délégués.

     La commission permanente

Composée du Président du Conseil général, des vice-présidents et d’élus à la proportionnelle de la représentativité de l’assemblée départementale, elle comprend 31 membres. Elle se réunit en moyenne une fois par semaine. Elle assure la continuité du travail entre chaque session de l’assemblée. Elle délibère sur de nombreux domaines.

      Les commissions de travail

7 commissions de travail sont constituées de conseillers généraux élus à la proportionnelle des groupes politiques. Elles comprennent neuf à dix membres dont un président, et deux vice-présidents. Elles étudient les dossiers qui seront examinés et débattus en assemblée plénière.

      Les services départementaux

Pour mettre en oeuvre leurs compétences, les Conseils généraux ont besoin de moyens humains, fonctionnaires titulaires ou non titulaires, appartenant à la fonction publique territoriale. Le Département emploie plus de 7 500 personnes, la plupart directement sur le terrain, au plus près des besoins de la population.

Extrait de http://www.cg94.fr

Publicité
L'Haÿ un canton solidaire
Publicité
Publicité